- Menu Possibles, nouvelle série n° 10, juillet 2016
- Sommaire de ce n° 10, nouvelle série, juillet 2016
- Contemporain : François Montmaneix
- François Montmaneix, Raisons d’aimer
- François Montmaneix, L’été brûla
- Présentation de François Montmaneix
- Découverte : Colette Fournier, inédits
- Hier : Alain Jean André [n° 15, 1978]
- Invitation : Cécile A. Holdban
- Le Frais Regard : des notes de lecture
- Tous les sommaires
- La table synoptique des numéros en ligne
- Index de tous auteurs publiés dans Possibles
- [Pour la B.N.F] ISSN : 2431-3971
- Accès au n° 11 —> paru le 5 août
Possibles n° 10, sommaire
Revue de poésie en ligne, le 5 juillet 2016
Je n’avais pas encore inventé le baiser / dont j’allais longuement mourir
François Montmaneix, L’Autre Versant du feu, in Œuvres poétiques, tome I, la rumeur libre éd, 2015
Contemporain : François Montmaneix
– Un choix de poèmes et une présentation –
J’étais sûr que tu étais d’ailleurs
depuis l’aube toutes les couleurs
ne m’avaient parlé que de toi
certaines d’entre elles étaient nues
comme le jour de ta naissance
j’ai regardé bien au-delà du fleuve
et je t’ai vue et tu allais… — Continuer la lecture
Découverte : Colette Fournier
Deux poèmes repris de son site
Ce monde n’aime pas la douceur
Il préfère le mordant, la mâchoire, l’étau, la pince
Étriller, éreinter, tremper dans la saumure
Rouler dans le fiel, aigrir les pensées
J’ai cherché ta main de soie, la crème de ta peau
Le moelleux de ton regard
J’ai tendu à ton souffle… — Continuer la lecture
Hier : Alain Jean André, éroticothèque
Reprise du n° 15, 30 septembre 1978 annulée le 23 juillet
[Cette reprise de deux poèmes anciens
a été refusée par l’auteur, par courriel, le 23 juillet.
Ce courriel est donné à lire en lieu et place des deux poèmes…] — Continuer la lecture
Invitation : Cécile A. Holdban
Deux extraits repris des Poèmes d’après, éd Arfuyen
Plutôt qu’un poème, c’est toi que je veux écrire, je veux ouvrir l’amande de ta vie, trouver le fruit, amer ou doux, le fruit de ton regard clos.
Aujourd’hui, un ami me dit : chez nous, les amandiers sont en fleurs : rien de plus beau que le noir et blanc de ces fleurs.
Tu chantais en cueillant les fleurs, puis les coques de velours vert.
Tu te penchais sur la terre en toute saison, creusant… — Continuer la lecture
Pierre Perrin, pour ce choix de présentation, le 6 juin 2016